lundi 28 mai 2012

Je flirte avec le sarouel!


Mai 2011.
Lors d’une conversation concernant les achats de vêtements que nous projetions faire pour la saison estivale, ma bonne amie Caro me dit tout bonnement : "J’aimerais me trouver une belle paire de pantalons, style sarouel, très colorée!" Moi de répondre : "Ah oui!?" J’ai beaucoup d’estime pour les goûts vestimentaires de mon amie. En fait, je considère qu’elle fait partie de ces rares personnes qui ont vraiment du style. Mais lorsque ces paroles sortirent de sa bouche, mon discours intérieur fut à peu près ceci : quoi? Mon amie fashionista veut revêtir ces espèces de pantalons difformes et trouver ça joli? Comme si ce n’était pas suffisant, elle les veut colorés avec des motifs, histoire qu’on les remarque... euh qu-oi??!!. J’étais bien au courant que ces fameux pantalons étaient tendance mais je ne me résignais pas à les aimer.

Avril 2012.
C’est arrivé lors de la braderie, il y a environ 1 mois. Je me baladais à travers les kiosques jusqu’à ce qu’un présentoir attire mon attention. C’était celui de la griffe Melow par Mélissa Bolduc où le mannequin était vêtu de pantalons de type sarouel. "Que se passe-t-il? Me voilà qui flirte avec le sarouel", me suis-je dit. Je les essais, je les aime, je les achète.

Qu’est-ce qui peut expliquer ce changement de cap? Le phénomène est simple. Je me suis habituée à une tendance. En voyant certaines filles porter ce pantalon avec style et désinvolture, mon oeil s’est mis à trouver ce look génial! Étrange que de passer d’un "beurk" à un "wow" me direz-vous? Que la girly girl qui n’a jamais vécu ce phénomène me jette la première pierre! ;-)

Ce principe est une expérience humaine pourtant très connue et courante. Le fait d’être exposés à un aspect nous le rend plus attrayant. Puis, alors que toutes les fashionistas commencent à opter pour un look x, nous nous habituons et nous désensibilisons à la tendance. Bref nous commençons à la trouver ordinaire à force d’y être exposés... jusqu’à ce qu’une nouvelle tendance se pointe sur les podiums des grands défilés ou des magazines. Je qualifierais les versions qui y sont alors offertes comme étant très théâtrales. Dès l’or, il n’en tient qu’à nous de les adapter à notre mode de vie, à notre style. Puis, ce que je décrivais plus haut recommence et s'enchaîne. Il s’agit d’un côté de la mode qui me fascine. Pour ma part, j’aime jouer avec la frontière du phénomène d’habituation lié à la mode : je veux porter des vêtements qui me permettent de me démarquer mais que j’aime, sans me rendre au stade où j’ai de fortes probabilités de croiser 10 fois le même look dans la rue.

Voilà le petit récit de mon flirt avec le sarouel! En voici quelques modèles.


H&M, 19,95

Mango, 59,99$

Topshop, 45$

Pour ce qui est de mon amie Caro, elle m’a avoué l’autre jour avoir abandonné l’idée de se procurer le sarouel. Raison : il est déjà beaucoup trop porté à Montréal. Caro joue dans une toute autre ligue ;-)

À bientôt!
Les photos de ce billet ont été prises un peu partout sur les internets.

mardi 22 mai 2012

Bijoux La Raffinerie


      C’est un coup de coeur majeur que fut pour moi La Raffinerie! J’espère pouvoir vous transmettre mon engouement pour cette griffe par ce billet aujourd’hui. C’est via la twittosphère que j’ai découvert La Raffinerie l’an dernier. J’en étais à mes premiers balbutiements sur ce médium social passionnant lorsque je fis la connaissance virtuelle de Julia Vallelunga, la designer. Depuis ce jour, je suis avec grand intérêt son cheminement artistique et ses inspirations sur Twitter, Facebook et je me délecte de ses chroniques publiées par le biais de ses deux blogues.

     Après tout ce préambule... qu’est-ce que La Raffinerie? Il s’agit d’une griffe de bijoux faits à la main, d’une entreprise montréalaise. Passionnée de vintage, la designer conçoit ses bijoux en conjuguant courants passés et tendances actuelles. Par ailleurs, elle puise une grande partie de son inspiration dans ses nombreux périples et voyages. Résultat : des bijoux vintages colorés à saveur exotique. L’entreprise a également un souci écologique et réutilise le plus possible les matières avec lesquelles elle conçoit ses bijoux. Matériaux recyclés, design vintage, bref c’est comme si les bijoux avaient une histoire ou une deuxième vie. J’a-do-re!

     J’ai déjà deux pièces de La Raffinerie à mon actif et je compte m’en procurer une autre très bientôt. J’ai effectué mes achats sur le site web. Fait important à noter : le service offert par Julia et son équipe est excellent. Les délais sont rapides et l’échange de marchandise est très simple.

Je vous invite à aller découvrir sa collection printemps/été 2012
http://www.laraffinerie.ca/

Voici les pièces qui me font de l’œil. L’une d’elles se retrouvera bientôt dans mon coffre à bijoux!



     Une chose est certaine, avec ses points de vente au Québec, aux États-Unis et au Japon, La Raffinerie est certainement une griffe en plein essor, déjà bien connue des modeuses aguerries. 

     Pour en savoir plus sur la griffe, je vous suggère ce blogue où Julia y consigne ses inspirations pour ses collections.
http://www.avintageblog.com/

     Je vous conseille aussi de suivre le blogue À la mode de Montréal dont Julia est la fondatrice et l’éditrice principale. Un blogue très instructif sur la mode, avec des billets recherchés tous plus intéressants les uns que les autres. Un ptit plus : Julia a maintenant deux collaboratrices qui viennent ajouter une plus-value multiculturel au contenu du blogue. En effet, l’une d’elles habite Sao Paulo et offre des chroniques à saveur de mode brésilienne!
http://www.alamodemontreal.com/

Points de vente
Québec:
Jupon Pressé, 790, rue Saint-Jean

Montréal:
Boutique Unicorn, 5135, boul. St-Laurent
Boutique du Musée des Beaux-Arts de Montréal, 1380 rue Sherbrooke West
Boutique Buk & Nola, 1593, rue Laurier West


Vous voilà maintenant équipés pour l'aimer!
À bientôt!


Les photos de ce billet ont été tirées du site web de La Raffinerie.

dimanche 13 mai 2012

Fresques et graffitis made in Quebec city!

     Des après-midis comme celui que j’ai passé hier, j’adore! En ce deuxième samedi de mai, le soleil, qui s’était tenu à l’écart pendant toute la dernière semaine, s’est fièrement affiché, coiffé de ses plus beaux rayons. Le genre de température qui met automatiquement du bonheur dans un cœur et qui nous rappelle que l’été ne tardera pas! Il fallait que j’en profite au max, que je fasse le plein de vitamine C! C’est donc accompagnée de mon amie Mylène que j’ai sillonné les rues du vieux Québec. Lèche vitrine et marche semi-rapide, un mélange efficace pour rentabiliser cette belle journée! Armée de mon appareil photo, prête à dégainer face à un paysage qui me ferait vibrer, je me suis amusée à prendre plusieurs clichés. J’ai délaissé mon côté girly et fashion le temps d’un après-midi pour retrouver un de mes anciens amours : les arts visuels, plus précisément les fresques et graffitis made in Québec city!

     Vous savez ces trésors artistiques de la ville de Québec? Ils ornent plusieurs murs de bâtiments qui, sans eux, seraient mornes et sans intérêt. J’ai toujours été fascinée par ce type d’œuvres d’art. Mon regard d’enfant reste chaque fois stupéfait et rempli d’admiration lorsque je me retrouve face à eux. Ces œuvres me rejoignent de par leur côté coloré et edgy. Je partage avec vous ces clichés qui, je l’espère, sauront mettre un peu de couleurs dans votre journée!






Voilà un cadre qui avait été déposé sur le rebord d’un bâtiment et qui était très à-propos ;-)

Les photos de ce blog ne sont pas libres de droit, merci de me demander mon autorisation avant de les utiliser.

samedi 5 mai 2012

Une girly girl au regard de biche!

Depuis deux semaines, les gens me regardent avec curiosité et suspicion. "Tu as quelque chose de changé M. A. mais je ne saurais dire ce que c’est!". Après un examen minutieux de mon visage, ils en viennent généralement à s’exclamer : "Comme tu as de grands cils M. A.!" Ouais... je m’en confesse, j’ai triché, j'ai déjoué la nature! Bref, j’ai succombé à la tentation des extensions de cils!! Me voilà désormais arborant fièrement un regard de biche égarée dans les prés! Je vous raconte donc ce périple girly!

Mise en contexte.

Au départ j’étais hésitante. Le prix de l’installation de base des cils est assez élevé (environ 150$). Puis une annonce de Tuango fait son apparition dans ma boîte de courriels offrant une séance de départ à moitié prix. Mais est-ce qu’il y a des risques? Est-ce que c’est douloureux? Est-ce que mes cils vont tomber plus facilement et éventuellement me laisser chauve de cils (on note ici ma tendance à la pensée catastrophique hihi!). Puis, l’amie-fashonista, qui a fait l’expérience des extensions de cils, arrive dans l’histoire et apaise mes craintes. Tout est en place, je me lance!

Je prends donc rendez-vous chez Belladora à Québec. Une fois là-bas, c’est un joli ptit chien (un spitz nain je crois) qui m’accueille, la mascotte du salon me dit-on! Avec son mignon petit minois, il aide à ce qu’on se sente immédiatement à l’aise! Puis Marie-Claude, la technicienne Misencil, m’invite dans une salle où elle examine ma frange oculaire naturelle et surtout, elle répond à mes nombreuses questions avec compétence et professionnalisme. Un plus non négligeable : elle est très gentille et hyper attentionnée. Je ne sais pas pour vous, mais de savoir que quelqu’un joue près de mes yeux avec une pince, de la colle et des cils, me rendait un tantinet nerveuse. Bref Marie-Claude est une vraie perle , elle m'explique chaque étape au fur et à mesure de la séance et met tout en place pour me faire vivre une expérience positive du début à la fin.

Quelques détails techniques.

Chez Belladora, ce sont les produits Misencil qui sont utilisés. La première pose prend environ 1h. Le tout se fait en position étendue, les yeux fermés. La technicienne place une pellicule adhésive sous l’œil, pour dissimuler les cils du bas et éviter que la colle ne les atteigne. Je vous dirais que c’est la partie la plus inconfortable. Puis, elle colle les cils un à la fois. Au final, un cil sur deux aura une extension. Le tout est totalement indolore. Pour les curieuses qui souhaitent voir le déroulement de cette séance, voilà une vidéo qui a été conçue par la compagnie Misencil :

http://www.youtube.com/watch?v=SPOToGTYAKA&feature=player_embedded

Précautions et entretien.

Suivant les conseils sur le site internet de Misencil, je me suis abstenue d’appliquer du maquillage sur mes yeux 24h avant et après la pose des extensions. Depuis la pose, j’utilise un cue-tips pour retirer mon maquillage afin d’éviter le contact du démaquillant avec les cils. Enfin, des retouches sont à prévoir tous les 4 semaines au coût de 50$. Marie-Claude me disait que certaines clientes préfèrent y aller aux 2 semaines au coût de 25$.

Bilan. 

Je suis ultra satisfaite du résultat! Mes paupières palpitent avec désinvolture! Mes yeux ont une touche de féminité de plus et j’adore ça! Le résultat est un regard relevé et illuminé même en l’absence de maquillage. Avec l’été qui arrive, je crois que les extensions de cils sont une bonne alternative pour se sentir belle et ainsi éviter les désagréments causés par le maquillage qui devient inconfortable en raison de la chaleur. Bref, loves it!

C’est donc avec un battement de cils encore plus coquet que je vous dis à la prochaine!
xxx

Belladora : 825 boul. Lebourgneuf, suite 104
Québec, Québec
G2J 0B9
418-683-9494

Site internet de la compagnie Misencil :
http://www.misencil.com/index.htm

Voilà le résultat obtenu. Merci d'être indulgents quant à la qualité de la photo: se poser soi-même a quelque chose de périlleux quand on y pense!