vendredi 5 août 2016

Redécouvrir Rudsak!

Ça s'est passé en mai dernier. Comme c'est ma première année en tant que grande personne (a.k.a officiellement sur le marché du travail) et que je loue un bureau dans un centre d'affaires où les complets-cravates défilent à une vitesse folle (Complexe Jules-Dallaire for the win!), je voulais refaire ma garde-robe et avoir l'air d'une jeune professionnelle trendy. L'art de rationaliser des achats! Je me suis donc ruée à Place Ste-Foy dans l'espoir de me dégoter quelques "robes de madames" pas trop madames. Ouais, parce que vêtements de bureau ne veut pas dire vêtements ennuyeux! Et parce que vêtements de bureau ne veut pas dire veste et jupe automatiquement. On peut jazzer tout ça un peu! Qu'on se le tienne pour dit!

Je suis donc atterrie, un peu malgré moi je l'avoue, dans la boutique Rudsak. Pour moi, Rudsak signifiait sacs ou vestes en cuir hors d'atteinte pour mon budget. Et bien Rudsak, soit tu as évolué/diversifié/démocratisé ton offre, soit je te sous-estimais complètement! En effet, je suis tombée en amour avec une panoplie de morceaux, ma foi, très abordables en plus d'être ultra stylés. J'ai particulièrement aimé la simplicité des teintes offertes (blanc, beige, noir, gris) et le style qui émanait des couples et tissus. Vraiment une belle surprise! Je me disais donc qu'il fallait que je propage la bonne nouvelle et que je vous montre mes achats que j'adore!

Mon premier look est composé de ces pantalons Mayol blanc. Je les trouvais particulièrement élégants. Je porte ces pantalons taille haute avec un crop top tout simple et mon collier de chez Article 721. Vous aime? Voyez les détails en cliquant ici!


Mon deuxième look n'est pas tant pour le bureau que pour une soirée d'été. Il est composé de la robe Mels noire. Une robe dont la coupe inhabituelle et originale m'a charmée. Pour ce qui est du bas en tissu transparent, je porte des shorts noires histoire d'être plus à l'aise. Que dire du tissu sinon que je dormirais avec tellement il est confortable! Voyez les détails de la robe en cliquant ici!


Pour ce look, j'ai choisi de le pairer avec une casquette de la boutique en ligne Womance.


Pour visiter la boutique en ligne cliquez ici! Je vous invite également à les suivre sur facebook c'est ici!

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M.A.

dimanche 24 juillet 2016

La vie post-extensions de cils!


La tendance des extensions de cils semble être revenue en force depuis le début de l’été. Honnêtement, je croyais que cette vague allait s’essouffler, mais il en est tout autrement! La bloguesphère regorge de yeux de biches qui palpitent au gré du vent. Perso, j’ai choisi de ne pas recourir aux extensions cet été pour une question de budget (je préciserai mon point plus tard dans l’article), mais je peux facilement comprendre l’engouement. Pour en avoir eu à trois reprises, c’est une très belle option pour l’été. Aujourd’hui, j’ai pensé vous parler de l’après-faux-cils puisqu’il semble que ce soit une inquiétude pour certaines filles. De mon côté, lorsque j’ai fait ma première pose d’extensions, je craignais la période où je cesserais de faire mes retouches pour donner une pause à mes cils et revenir au naturel. Je pensais que la période de transition où me cils seraient affreux durerait un bon 6 mois! Certes d’un point de vue esthétique, il y a une période transitoire où la frange de cils n’est pas à son meilleur! Mais rien de dramatique! Je vous en parle ici.

Avec les extensions

Sans les extensions


D’abord, les extensions ne se retirent pas vraiment. Elles tombent peu à peu. Bon… j’avoue que dans mon cas, j’ai forcé la note dans les derniers moments en décollant quelques faux cils avec mes doigts. Rien de bien méchant et j’ai réussi à retirer plusieurs extensions de mes vrais cils de cette façon. Si vous êtes une technicienne en extensions et que vous lisez les prochaines lignes, vous risquez de faire une maille dans vos bas, vous en serez avertie, mais… à la toute fin, pour les quelques extensions solidement bien collées et résistant à mes tentatives manuelles de les retirer, je les coupais pour qu’elles soient de longueurs équivalentes à mes vrais cils. Oui, je sais… ce n’est probablement pas une technique brevetée mais hey! pour moi, cette façon de faire a bien fonctionné!

Pendant environ 2-3 semaines suivant ma décision de ne pas poursuivre avec les extensions, mes cils ont été moins fournis et très légèrement clairsemés. Ouais, c’est une réalité : il y a bel et bien une période de transition. Rien de majeur toutefois! À aucun moment je n’ai eu de commentaires de mes proches me disant « il arrive quelque chose d’étrange à tes cils ». Perso, c’était l’une de mes craintes. C’est bien beau de mettre les extensions, de faire les retouches, mais lorsque le moment d’arrêter survient, j’avais peur de me retrouver avec l’un ou l’autre de ces scénarios : A. n’avoir que des minis-cils ou B. avoir des cils complètement inégaux avec de grands espaces vacants un peu comme les motels sur le boulevard Hamel. Finalement, j’avoue que dans ma tendance à la pensée catastrophique, l’option C. ne plus avoir de cils du toutpour toujours, a également fait un court passage à mon esprit.

Ce qui s’est réellement passé? Après 1 mois, ma frange de cils était redevenue comme avant. Je n’ai pas remarqué de changement et je ne crois sincèrement pas que les extensions abiment les cils naturels. L’effet est réversible et je n’ai eu aucun dommage à mes cils.

Alors pourquoi ne pas avoir retenté l’expérience cet été? Une question de budget. Le seul désavantage que je trouve aux extensions de cils est l’entretient qu’elles demandent. C’est un fait : si vous vous aventurez dans l’expérience des extensions, il y a des coûts à prévoir. D’abord, la pose de départ qui, bien que de plus en plus accessible à tous, coûte une bonne centaine de dollars. Puis, les retouches sont à faire environ tous les 3 semaines pour la somme de 30-40$ à chaque fois. Donc oui, il faut penser à cet aspect avant de débuter les faux cils. Ce fut mon erreur principale lors de mon premier essai. Je m’étais mal renseignée et je croyais que les retouches se faisaient aux mois. J’étais donc ultra déçue de constater que je devais y aller aux 2-3 semaines. En le sachant à l’avance et en l’ayant vécu, j’ai pu faire un choix éclairé pour les fois suivantes où j’embarquais dans l’aventure en connaissance de cause.

Alors voilà! Vous avez fait l’expérience des extensions et avez des astuces pour minimiser la période de transition lors de l’arrêt? Partagez vos trucs en commentaires!
Bon dimanche mes girlies!
M.A.