vendredi 13 juillet 2012

Extensions de cils : it’s over!

     On se rappelle qu’il y a deux mois j’étais dans une lune de miel complète au sujet de mes extensions de cils (archive: http://malagirlygirl.blogspot.ca/2012/05/une-girly-girl-au-regard-de-biche.html ). J’arborais fièrement un regard de poupée avec des cils interminables. Je vous annonce aujourd’hui que ma phase d’émerveillement contemplative est terminée. Extensions de cils : it’s over!

     Je dois malheureusement admettre que je suis déçue de l’expérience misencils au bout du compte. Pourquoi ai-je rompu avec les faux cils? Le premier irritant était la fréquence rapprochée des retouches. Petit rappel : comme les extensions sont collées sur nos vrais cils, il est normal que ceux-ci finissent par tomber. Il faut donc prendre soins de faire des retouches. Une fois par mois selon le site Misencil et aux deux ou trois semaines selon la technicienne qui me les avait posés. Dans mon cas, je devais vraiment y aller aux deux semaines. Je perdais des cils et des trous se formaient dans ma frange oculaire dès le début de la deuxième semaine post-retouche. Pas très joli considérant que les autres cils étaient méga longs!

     Outre la fréquence trop rapprochée des visites d’entretien et le prix qui vient avec (25$ la retouche), mon deuxième irritant était les précautions à prendre pour préserver les cils. C’est l’été et je n’ai pas le goût de faire attention à ne pas me mettre la tête sous l’eau pour éviter d’abîmer mes cils. C’est d’ailleurs ce qui a déclenché la rupture. Après ma première baignade de l’été, j’ai commencé à perdre plusieurs cils. Puis j’ai décidé que c’en était assez. J’ai donc entrepris d’enlever le reste de mes faux cils moi-même en tirant doucement dessus. À ma grande surprise, c’était très facile de les retirer (un peu freakant même!). Le problème est qu’en les retirant, plusieurs vrais cils sont venus avec. J’ai donc eu une période où mes cils étaient ultra courts. Constat encourageant malgré tout: les cils repoussent assez rapidement tout compte fait, puisqu’au bout d’un mois, tout était redevenu comme avant.

     Au final, j’aurai porté mes cils 1 mois et ½ alors qu’on m’avait dit que je pourrais les porter plusieurs mois. Mon amie Stef en porte depuis un an et tout se passe très bien de son côté. Il est donc important de se rappeler que les produits Misencil peuvent bien fonctionner pour certaines personnes. Pour ma part, je trouve que le concept est super intéressant et très joli à court terme. À moyen terme, mon expérience n’est toutefois pas concluante, voire même décevante. Il faut dire que le prix de la pose de départ est de 150 à 200$. Mes attentes étaient donc élevées et surtout, je croyais faire un investissement valable. :(

À bientôt!

mercredi 4 juillet 2012

Chick lit : Ma revanche sur cendrillon

     C’est un fait, je dois me résoudre à l’admettre, je souffre du Syndrome de Cendrillon (SDC). ;-) + :P Je rencontre les critères du trouble et je crois que le SDC teinte significativement mon comportement dans les relations interpersonnelles. Ce mal particulièrement prévalant chez la population des jeunes femmes âgées de 25 à 35 ans (oui, vous n’êtes pas à l’abri jeunes dames!!! Héhé!) m’habite depuis quelques années déjà. J’étais certes prédisposée à développer un SDC, moi qui crois encore aux contes de fées, aux licornes et aux calinours! En fait, je réalise que, depuis le début de ma « carrière » de célibataire (c’est plus glamour de le dire ainsi n’est-ce pas!), je cumule les expériences qui crystallisent mon SDC. Pronostic favorable? Ouais, je crois bien pouvoir m’en sortir! :-) Après tout, la prise de conscience n’est-elle pas le premier pas vers le changement? ;-)

     Qu’est-ce que le SDC? Julie Normandin, nouvelle auteure, répond à la question à travers son tout premier livre Ma revanche sur Cendrillon. Un livre sous forme d’anecdotes et de tranches de vie avec comme ligne directrice la quête du prince charmant, prémisse de base du SDC. Son intérêt pour la psychologie colore ses récits de façon très intéressante. Résultat : une analyse à saveur psycho-pop d’expériences amoureuses (les siennes mais aussi celles de ses amies). Le tout est fort rafraîchissant! Moi qui étais en deuil/sevrage de récits à la Sex and the city, j’ai beaucoup aimé ce livre! Je m’y suis reconnue à plusieurs reprises (ouais... d’où le préambule). À mon avis, cet ouvrage entre dans la catégorie des livres-bonbons : un concept amusant, un contenu pétillant, léger et humoristique écrit d’une plume de blogueuse. À plusieurs reprises, j’ai déposé le livre pour me dire combien ce qui était relaté me ressemblait pour ensuite pouffer de rire!

     À ajouter dans votre collection de chick lit pour l’été. Ma revanche sur Cendrillon est un livre à déguster sur la plage, un cosmo à la main en compagnie de copines avec qui vous pourrez discuter du passage que vous venez de lire ;-)



     Pour plus de détails sur le fameux SDC, procurez-vous ce livre coquet et girly disponible aux endroits suivant :
  • Québec : Librairie Pantoute, 1100, rue Saint-Jean, Québec, G1R 1S5, tél : 418-694-9748
  • Trois-Rivières : Coop Université du Québec à Trois-Rivières, Pavillon Albert-Tessier, 3351, boul. des Forges, Local 1255, G9A 5H7, tél : 819-371-1004
  • Vous pouvez également passer une commande en ligne via ce site : http://leseditionspremierechance.com/Ma-revanche-sur-Cendrillon.php
     Longue vie à cette auteure! Un tome II? Je l’espère :-) Sinon elle pourra toujours contacter l’American Psychiatric Association afin d’inclure le SDC dans le prochain DSM ;-) Je me porte volontaire pour mener les recherches sur ce phénomène clinique intriguant, en commençant par une étude de cas... moi-même!

Bonne lecture les girly girls!